Première strophe : Naissance de la Légende
Dans un royaume lointain, sous les cieux étoilés,Les Seigneurs bâtissent leurs fiefs et leurs cités.Par Claire Conan, l’art fut magnifiquement dessiné,Et Marc André fit de cette refonte un joyau convoité.De vos champs et églises, soyez l’architecte avisé,Pour un fief prospère, où votre gloire sera célébrée.
Deuxième strophe : Les Combats épiques
Sur les tuiles, chaque Seigneur place son pion,Choisissant remparts ou fermes avec précaution.Les effets spéciaux surgissent comme un bon stratagème,Réservant des tuiles d'or, rendant jaloux vos diadèmes.Votre Éclaireur en éclaireur, ouvre les chemins cachés,Défiant les autres Seigneurs, pour des trésors amassés.
Troisième strophe : Les Alliances et la Gloire
Mais le destin d’un fief ne se forge pas seul,Les regards se croisent, les mots deviennent des lames à leur linceul.Trahison amicale ou promesse non tenue,Vos choix ici façonnent un avenir méconnu.Les cartes d’événements ajoutent à cette histoire,Des rebondissements stratégiques qui forgent la victoire.
Quatrième strophe : Les Louanges et les Ombres
Ô Middle Ages, jeu des Rois et des ambitieux,Tes mécaniques brillent comme des joyaux précieux.Les règles simples séduisent novices et vétérans,Et chaque partie éveille l’esprit des plus compétents.Pourtant, dans ton royaume naissent quelques tourments,La chance parfois décide, et les choix en souffrent tant.Les Seigneurs diront que l’or et les tuiles sont beaux,Mais certains se plaignent de moments inégaux.D’autres craindront le manque de complexité,Dans ce fief médiéval, pourtant si bien orchestré.
Refrain final : La Légende continue
Alors, à vos fiefs nobles Seigneurs, que la partie commence,L’ombre d’un trône vous attend, sous les éclats des nuances.Middle Ages brille de ses règles simples mais astucieuses,Et promet des parties intenses, joyeuses ou belliqueuses.N’attendez plus, prenez vos pions et bâtissez votre royaume,Car dans Middle Ages, c’est la grandeur qui fait de vous un nom.
En ce jour, la ballade s’achève,Mais l’aventure, elle, ne cesse jamais !
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